DE LA MARCHE A PIED
“La marche est porteuse de rêves. Elle s’accommode mal de la réflexion construite. Cette dernière est plus à l’aise dans la contemplation, les yeux mis-clos, le corps posé sur le mol oreiller d’un sable fin, faisant la méridienne à l’ombre d’une pinède. La marche est action, élan, mouvement.”
Bernard OLLIVIER, in Longue Marche I, Phebus, 2000